THE MARVELS, 5 RAISONS D’EMBARQUER AVEC CES SUPER-HÉROÏNES
Après Captain Marvel et son succès démentiel en 2019, le mythique studio voit les choses en grand: aux côtés de Carol Danvers, brilleront cette fois deux super-héroïnes aperçues dans les séries de la franchise. Attachez vos ceintures: avant d’embarquer avec le trio, on fait le point sur ce qui nous séduit dans ce projet très attendu.
UNE HÉROÏNE LÉGENDAIRE
Après Captain Marvel (2019), on retrouve avec plaisir la super-héroïne campée par Brie Larson, dans un rôle de premier plan. Elle est de retour, pour un combat impitoyable contre une révolutionnaire de l’empire Kree. Aussi populaire que la Wonder Woman de DC Comics, Carol Danvers allie candeur et aptitudes physiques exceptionnelles, au service d’un sens aigu de la justice.
UN TRIO DE CHOC
Pour ce film, les studios Marvel nous gratifient d’un étonnant trio féminin. Carol Danvers fait équipe avec deux femmes puissantes : Kamala Khan, alias Miss Marvel, du nom de la
série qui mettait en scène une ado musulmane dotée de super-pouvoirs ; Monica Rambeau alias Photon, afro-américaine également surnommée Captain Marvel, et dont la mère n’est autre que la meilleure amie de Carol.
UNE CINÉASTE AU FIRMAMENT
Aux commandes du long-métrage : Nia DaCosta, cinéaste afro-américaine qui s’apprête à marquer l’histoire. Repérée avec Little Woods (2018), production "indé" au succès inespéré, elle se voit très tôt confier deux projets et collaborations d’envergure : avec Jordan Peele pour le remake de Candyman, sorti en 2021, puis Kevin Feige pour The Marvels. Un triomphe pour DaCosta, qui devient la première femme noire à piloter une telle superproduction.
UN UNIVERS INTERGALACTIQUE
D’après Nia DaCosta, les mondes explorés par The Marvels auront une saveur unique. Et pour cause, on est ici plongés dans un vaisseau spatial en suspension. Résolument interplanétaire, le film renoue ainsi avec les codes d’une science-fiction à la Guerre des étoiles, où des héros en combinaison se battaient dans des décors new age pour sauver le destin de l’Univers – rien que ça.
UN RÉCIT LUDIQUE
De cette atmosphère au kitsch assumé, Nia DaCosta tire un film qu’elle espère plus absurde qu’à l’accoutumée. Un parti-pris revigorant, qu’on retrouve dans la mécanique du film lui-même. Nos trois super-héroïnes y découvrent en effet qu’elles sont liées par une étrange symbiose : à chaque fois que l’une d’elles utilise un pouvoir, leurs places à toutes sont échangées. Un vrai jeu de chaises musicales intergalactique.
Cet article est issu du Mag by UGC.
The Marvels, à découvrir actuellement dans nos cinémas.