© Agathe Poupeney
Durée du spectacle
1h40 sans entracte
OPÉRA BASTILLE
Durée du spectacle
1h40 sans entracte
La princesse de Judée, Salomé, s’ennuie au palais de son beau-père, le roi Hérode. Sa curiosité s’éveille lorsqu’elle entend la voix de Jochanaan, prophète tenu prisonnier par Hérode qui en a peur. Obsédée par cet homme énigmatique et vertueux, Salomé est prête à tout pour le posséder, vivant ou mort. D’après la scandaleuse pièce homonyme d’Oscar Wilde, Richard Strauss livre, en 1905, l’œuvre qui devait confirmer sa place de successeur de Richard Wagner dans l’opéra allemand. « Danse pour moi, Salomé ». De cette injonction lubrique d’Hérode à la jeune fille découle l’une des plus emblématiques pages orchestrales de l’histoire de l’opéra : la danse des sept voiles. Un intermède hypnotique qui pourrait à lui seul résumer la mortelle ascension du désir qui parcourt cette partition à l’orchestration aussi riche que moderne. Une fulgurance d’une heure quarante où la metteuse en scène Lydia Steier convoque, pour ses débuts à l’Opéra national de Paris, l’essence décadente de l’œuvre.
Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.
La princesse de Judée, Salomé, s’ennuie au palais de son beau-père, le roi Hérode. Sa curiosité s’éveille lorsqu’elle entend la voix de Jochanaan, prophète tenu prisonnier par Hérode qui en a peur. Obsédée par cet homme énigmatique et vertueux, Salomé est prête à tout pour le posséder, vivant ou mort. D’après la scandaleuse pièce homonyme d’Oscar Wilde, Richard Strauss livre, en 1905, l’œuvre qui devait confirmer sa place de successeur de Richard Wagner dans l’opéra allemand. « Danse pour moi, Salomé ». De cette injonction lubrique d’Hérode à la jeune fille découle l’une des plus emblématiques pages orchestrales de l’histoire de l’opéra : la danse des sept voiles. Un intermède hypnotique qui pourrait à lui seul résumer la mortelle ascension du désir qui parcourt cette partition à l’orchestration aussi riche que moderne. Une fulgurance d’une heure quarante où la metteuse en scène Lydia Steier convoque, pour ses débuts à l’Opéra national de Paris, l’essence décadente de l’œuvre.
Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.
Herodes
John Daszak
Herodias
Karita Mattila
Salomé
Elza van den Heever
Jochanaan
Iain Paterson
Narraboth
Tansel Akzeybek
Page des Herodias
Katharina Magiera
Erster Jude
Matthäus Schmidlechner
Zweiter Jude
Éric Huchet
Dritter Jude
Maciej Kwaśnikowski
Vierter Jude
Mathias Vidal
Fünfter Jude
Sava Vemić
Erster Nazarener
Luke Stoker
Zweiter Nazarener
Yiorgo Ioannou
Erster Soldat
Dominic Barbieri
Zweiter Soldat
Bastian Thomas Kohl
Ein Cappadocier
Alejandro Baliñas Vieites
Ein Sklave
Marion Grange
LIVRET
Hedwig Lachmann
d’après Oscar Wilde Salomé
DIRECTION MUSICALE
Simone Young
MISE EN SCÈNE
Lydia Steier
DÉCORS ET VIDÉO
Momme Hinrichs
COSTUMES
Andy Besuch
LUMIÈRES
Olaf Freese
DRAMATURGIE
Maurice Lenhard
Orchestre de l’Opéra national de Paris
Cet opéra n'est plus à l'affiche.